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All Around Me est une opéra contemporaine divisée en trois actes sur les notes de chansons pop-rock. Elle est la vie que nous voyons défiler chaque jour devant nos yeux, les mouvements inconscients et les trajectoires éparses. Ses gestes mélancoliques et vifs explorent les espoirs, les troubles, les souvenirs, les joies et les nostalgies.  « Avec sa délicatesse sauvage, avec son désir sans objet, avec son passé présent, cette danse se dresse à la frontière qui confond la chaleur et la lumière, comme la douceur qu’elle prend en l’été et la fantasme d’être seulement ce qu’on est ».
I Acte
II Acte
III Acte

Que nous manque-t-il, dans cette si belle tristesse, que nous manque-t-il si ce n’est un passé qui n’a jamais existé? Deux femmes, deux hommes, et puis le monde entier, comme dans un miroir sans tient, desséché par la chaleur. Les gestes inconscients tracent une présence sans renvoi, qui n’a pas besoin de la représentation.

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I Acte
II Acte
III Acte

Que veut-on, quand on veut un corps, que veut-on, dans l’altérité qui n’existe pas? Le désir habite une terre où vivent les fantômes, dans les méandres de l'érotisme aux limites de l'animal et de l'enfant.

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I Acte
II Acte
III Acte

Qu’en savons-nous des abysses, en fin de compte, que pouvons nous en savoir, si nous n’écoutons pas les voix des sirènes? Ce sont les sirènes qui entrent en scène, dans l’épilogue.

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I Acte

Que nous manque-t-il, dans cette si belle tristesse, que nous manque-t-il si ce n’est un passé qui n’a jamais existé? Deux femmes, deux hommes, et puis le monde entier, comme dans un miroir sans tient, desséché par la chaleur. Les gestes inconscients tracent une présence sans renvoi, qui n’a pas besoin de la représentation.

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II Acte

Que veut-on, quand on veut un corps, que veut-on, dans l’altérité qui n’existe pas? Le désir habite une terre où vivent les fantômes, dans les méandres de l’érotisme aux limites de l’animal et de l’enfant.

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III Acte

Qu’en savons-nous des abysses, en fin de compte, que pouvons nous en savoir, si nous n’écoutons pas les voix des sirènes? Ce sont les sirènes qui entrent en scène, dans l’épilogue.

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Credits

Durée:
50 min

Chorégraphie:
Serena Malacco

Collaboration artistique:
Attilio Marasco

Danse:
Alice Raffaelli, Louis-Clément da Costa, Ana Luisa Novais, Stefano Beltrame

Musiciens:
Roberto Dellera, Milo Scaglioni

Musique:
Grantchester Meadows, Pink Floyd
Little Johnny Jewel, Television
We All Make The Little Flowers Grow, Lee Hazlewood


Light Design:
Marvin van den Berg

Scénogrphie-photographie:
Attilio Marasco

Regard extérieur-textes:
Caterina Piccione

Production-diffusion:
Louisa Low

Communication:
N.Y.G. Sagl

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